“21 vitrines, 21 vases”, vue de dos ( détail)


L’ombre portée, à l’arrière de l’installation (du côté de son “relief”, commenté ici), ajoute à cet  agencement chaotique et à la facture archaïque des vases. A l’inverse, côté face, c’est une “lumière portée”  que l’on voit.

De même, cette situation dans l’espace répond à un soucis d’articulation globale de l’exposition qui est divisée en deux parties complémentaires : la partie sombre et la partie éclairée... Dans la partie éclairée (jour, rêve, conscient, culture, réflexion...) on peut voir les “Peintures-Carton”, la “Leçon de Choses”, les “6 Feuilles de Verre”, quelques dessins d’étude, et la face éclairée de “21 Vitrines, 21 Vases”. Dans la partie sombre de l’exposition ( nuit, cauchemar, inconscient, nature, intuition...) on peut voir le “Cauchemar-Mobile”, “Formes du Chaos”, “Recycling hEros”, “Orchestré” et le côté sombre de “21 Vitrines, 21 Vases”, donc.