Cette série de peintures, d’abord sur toile puis sur carton commence par l’ ”Autoportrait en costume traditionnel” .

Il s’agit d’un personnage  emblématique dont j’ai décliné l’univers immédiat : des objets lui appartenant à ses animaux domestiques.

Un petit monde se forme , en constante évolution, en constante expansion, chaque objet en appelant un autre ou formulant

une action ( sur le principe des jeux  électroniques évolutifs ). De “Autoportrait” nait “Linge”, puis “Nécessaire”, ce premier bagage

annonçant  le déplacement ou le voyage, “Ouature”, puis “Plan” , qui engendre “Ch’val” pour les “déplacements”

difficiles..., etc. Une caméra présente dans le “nécessaire” filmera ce voyage désuet et anachronique.


Au -delà  de l’anecdote, le travail en trompe-l’oeil (analytique) vient contredire  l’exécution quasi spontanée du volume en carton.

L’objet représenté est isolé, sans support, sans ombre. Il se pourrait qu’il ne soit plus qu’une “idée”, un archétype.

Les notions de préhension ou d’articulation apparaissent pour certains sujets : “Caf’tière”, “Chaise”, “Nécessaire”, “Châtiau”...

La “Ouature” est elle-même présentée en quadriptyque, suivant les pliures du carton.

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